Quelques réponses de Wargny-BBR à des questions fréquentes de nos clients

Que vous soyez client de Wargny-BBR ou que vous envisagiez de le devenir, notre équipe est disponible pour répondre à toutes vos questions, qu'elles soient d'ordre financier ou plus largement relatives à votre patrimoine et à vos objectifs.

Wargny-BBR ne fixe aucun montant minimum pour devenir client.

En effet, nous gérons des capitaux de familles ayant des comptes de taille très différente.

Wargny BBR n’exerce plus l’activité de transmission d’ordre et ne propose donc plus à ses clients que la gestion sous mandat qui consiste pour le client à déléguer totalement à son gérant le soin de gérer son compte d’instruments financiers.

La période précontractuelle au cours de laquelle un gérant de Wargny-BBR vous interroge sur vos objectifs est une phase importante de questionnement, de conseils et finalement de préconisations. Le gérant de Wargny-BBR vous conseille et sur le profil de gestion et sur le choix de l’enveloppe.

Les conditions tarifaires figurent dans les conditions générales du mandat de gestion et chaque année, Wargny-BBR vous adresse un bilan annuel de l’ensemble des coûts générés par la gestion de votre compte.

Wargny-BBR vous adresse chaque mois un bilan indiquant les résultats de gestion de votre compte et votre gérant est toujours à votre disposition, par téléphone ou lors d’un rendez-vous, pour vous rendre compte des résultats de gestion et des perspectives.

Wargny-BBR, comme tous les établissements financiers, les sociétés de gestion de portefeuille et les autres professions réglementées (avocat, notaire), est tenu au respect de ses obligations réglementaires imposant la parfaite connaissance de son client et également l’origine de ses fonds déposés et l’emploi des sommes retirées afin d’éviter tout risque de blanchiment.

Le site internet de Wargny-BBR vous permet d’accéder à tout moment à la visualisation de vos avoirs, leur répartition, la performance de vos comptes titres et l’historique des mouvements effectués.

Il vous permet également d’accéder à vos relevés de compte archivés depuis la création de votre abonnement.

Une instruction de votre part ainsi qu’un RIB suffisent à mettre en place un retrait programmé à la date qui vous agrée. Votre gérant de Wargny-BBR intègrera cette donnée pour la gestion de votre compte et afin de disposer des liquidités permettant de faire face à ce retrait régulier.

La détention d’un compte titres ou d’un PEA ou d’un contrat d’assurance-vie ne permet pas de disposer de moyens de paiement.

Le teneur de compte et actionnaire majoritaire de Wargny-BBR, à savoir Rothschild Martin Maurel, pourra vous proposer d’ouvrir un compte bancaire disposant de moyens de paiement.

Une procuration peut être donnée pour une durée limitée ou bien être valable jusqu’à sa révocation, mais s’éteint suite au décès du titulaire du compte.

Votre gérant et/ou votre gestionnaire patrimonial vous conseillera sur la meilleure solution à adopter. Une donation sans le recours à un notaire est tout à fait possible.

Wargny-BBR allie son activité de gestion sous mandat à la gestion patrimoniale.

Votre gérant et/ou votre gestionnaire patrimonial sera à vos côtés pour compléter vos déclarations fiscales.

En cas de demande d’informations de la part de l’administration fiscale, il étudiera avec vous la réponse à apporter.

Quelques définitions utiles :

Obligations

De manière générale, une obligation est une reconnaissance de dette de la part de l’émetteur.

Elle représente une participation dans un prêt à long terme, pour laquelle le détenteur de l’obligation perçoit des intérêts (coupon).

L’émetteur peut être :

  • un organisme public, français ou étranger ;
  • une entreprise privée, française ou étrangère ;
  • un organisme international ;
  • un établissement de crédit.

Les obligations constituent l’un des instruments financiers parmi les plus répandus dans le monde. Leur principe est simple : un taux d’intérêt qui donne droit au paiement d’un coupon périodique, une durée d’emprunt, un prix d’achat et un prix de remboursement à l’échéance.

Actions

Une action est un titre de propriété d’une fraction du capital d’une société. L’émission d’actions a pour effet de répartir le capital social de la société entre une série de propriétaires. L’actionnaire est donc propriétaire de la société, au prorata du nombre d’actions qu’il possède.

Les actions étant des titres de propriété, elles sont généralement sans échéance, contrairement aux obligations qui sont des titres de créance représentatifs d’un emprunt, accordé pour une durée déterminée, et donc assortis d’une échéance. Les actions ne procurent aucun revenu fixe, à la  différence des obligations qui rémunèrent, par un intérêt périodique, le prêt consenti. Le dividende et la hausse du cours (plus-value) éventuels constituent ensemble le « gain » procuré par une action.

Seules les actions nominatives dont le capital est entièrement libéré et les actions au porteur sont admises à la cote. De plus, pour qu’une action puisse être admise à la cote, certaines conditions fixées par les Autorités de Marché doivent être remplies (taille minimum, publication d’informations régulières et détaillées, règles relatives à la gouvernance d’entreprise, etc.).

Le marché boursier évalue en permanence les risques de chaque action. Le cours d’une action constitue un compromis entre les revenus – dividendes et plus-values – et les risques, qui tiennent à de nombreux facteurs. Ceux-ci peuvent être intrinsèques à la société : sa situation financière, technique et commerciale, sa politique d’investissement, ses perspectives et celles de son secteur économique… Ils sont aussi extérieurs puisque le marché boursier est influencé par les événements politiques, la situation économique et monétaire, tant internationale que nationale, et des éléments  émotionnels et irrationnels pouvant accentuer, à la hausse comme à la baisse, les fluctuations des cours de la Bourse.

Tous ces facteurs complexes agissent sur le cours de l’action et peuvent le rendre assez volatil à court terme. L’investissement en actions doit, par conséquent, être considéré comme un placement à long terme.

Organisme de Placement Collectif

Le terme général d’«Organisme de Placement Collectif» (OPC) désigne une entité, avec ou sans personnalité juridique, qui recueille des capitaux auprès du public et les investit collectivement dans un ensemble de valeurs mobilières selon le principe de la diversification des risques.

Les OPC regroupent deux types de véhicules d’investissement :

  • Les OPCVM (Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières) relèvent de la Directive européenne dite « UCITS » (Undertakings for Collective Investment in Transferable Securities Directives) et bénéficient d’une standardisation dans leur mode de constitution et de fonctionnement.
  • Les FIA (Fonds d’Investissement Alternatifs) relèvent de la Directive européenne dite « AIFM » (Alternative Investment Fund Managers) et regroupent un ensemble de fonds hétérogènes régulés qui ne sont pas des OPCVM, tels que les Fonds d’Investissement à Vocation Générale, les Fonds de Capital Investissement ou encore les SCPI (Sociétés civiles de Placement Immobilier).

 

Il existe deux statuts juridiques pour les OPC :

  • les SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable), qui disposent de la personnalité morale ;
  • les FCP (Fonds Communs de Placement), qui sont des copropriétés de valeurs mobilières.

La gestion des actifs est confiée à des spécialistes (sociétés de gestion agréées) qui investissent les montants collectés dans divers instruments financiers (actions, obligations, instruments du marché monétaire, autres OPC, placements sur les marchés à terme, pensions, etc…), en respectant la politique d’investissement du fonds décrite dans le prospectus. L’investisseur n’a aucun droit de regard sur la politique d’investissement suivie par l’OPC. Pour savoir si un OPC répond à ses besoins, il doit se référer à son prospectus d’émission.

Risques liés aux instruments financiers

 

Risque de crédit          

Le risque de crédit (ou risque émetteur) est la conséquence, pour l’investisseur, de l’incapacité totale ou partielle de l’émetteur à honorer ses engagements.

Négligeable pour la quasi-totalité des OPC, il existe cependant pour les hedge funds.

 

Risque de liquidité     

Le risque de liquidité est la probabilité de rencontrer des difficultés pour récupérer ses fonds avant l’échéance fixée, s’il y en a une.

Faible pour la quasi-totalité des OPC (vente à des conditions conformes au marché, moyennant éventuellement des frais de sortie), il existe cependant pour les hedge funds.

 

Risque de change       

Le risque de change est la probabilité qu’une évolution défavorable de la devise dans laquelle on investit diminue le rendement du placement. Il dépend de la politique d’investissement (voir prospectus). Il est faible à inexistant pour les fonds qui investissent uniquement en instruments libellés en euros, et élevé pour les fonds qui investissent dans des instruments libellés dans des monnaies volatiles sans couverture des risques de change.

 

Risque de taux

Le risque de taux est le risque lié à une variation des taux d’intérêt sur le marché entraînant une baisse du cours du titre. Faible pour les OPC monétaires, il est égal, pour un fonds obligataire, au risque de taux d’une obligation ordinaire avec une échéance restant à courir égale à l’échéance moyenne du portefeuille d’obligations. En général, une hausse de taux a une influence négative sur le cours des actions, donc sur celui d’un OPC actions ou un tracker.

 

Risque de volatilité du cours   

Le risque de volatilité est la probabilité que le cours d’un placement soit soumis à volatilité des fluctuations, plus ou moins fortes, entraînant une plus-value ou une moins-value du cours. Ce risque dépend fortement des instruments dans lesquels investit l’OPC : il est très faible dans le cas des OPC monétaires et peut être important dans le cas des OPC actions.

 

Risque de capital ou de remboursement         

Le risque de capital ou de remboursement est la probabilité que l’investisseur ne récupère pas, à l’échéance ou lors de la sortie de son placement, la totalité de sa mise initiale. Le porteur de parts ne bénéficie pas d’une garantie en capital, sauf mention expresse dans le prospectus de l’OPC.

 

Autres risques 

Risque lié à la gestion discrétionnaire: le style de gestion discrétionnaire repose sur l’anticipation de l’évolution des différents marchés (actions, taux). Il existe un risque que l’OPC ne soit pas investi à tout moment sur les marchés les plus  performants.

Risque de marché :un OPC connaît des risques liés à ses investissements directs et indirects en instruments financiers. Ces risques correspondent à ceux attachés à des investissements directs dans ces instruments financiers et énumérés ci-dessus : risque de crédit, de liquidité, de change, de taux, de volatilité, de capital.

Risque de performance :il correspond au risque que la performance de l’OPC ne soit pas conforme à ses objectifs.

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